dimanche 8 octobre 2017

Let us take a look at Haiti's socio-economic condition and then put ourselves in the shoes of a young Haitian, devoted worker, that is trying to survive modestly after being forced to quit his job.

Talking about the enterprise that he used to work for and his decision to quit.

«I have to admit that it undoubtedly is an ancient, well-structured, prolific and respected company across the land. No one has ever dared to question its products quality, its production's hygienic principles and his noble engagement towards the static institution that regulates taxes in the country and its blatant prestige. At an unspecified time in their life, a human being, a reflective one, will possibly find themselves in situations where they will be forced to chose peace over material possessions.» He calmly stated

«The reverse occurs sometimes. And, i know, it is not really an easy decision to make : it takes guts and sacrifices, reason over passion, and sang-froid over emotive attitude. I only made this decision, which clearly is an untypical one, to compensate for my inadequacy to follow religiously some of the draconian policies of the cited entity, and mainly the economic weakness of my meagre and necessary salary.» He added.

«When i have definitely decided to take my time to analyse meditatively my schedule and the salary that i was making while working for the company, without omitting my country's current economic pattern, i made a sad and devastating realisation, a deadly shocking one. The only way i could survive, if we can vulgarly call it like that, was to spend my cash, each cent and dime, with extreme parsimony, in a country where things are expensive.» He said

Exposing clearly his country's socio-economic conditions and the illusion by which the folks are mesmerised.

«My country, Haiti, is not really a country that is endowed with a real, singular and healthy economic machine that can provide enough resources for its entire population, due to the inequity that is reigning. Haiti primarily is governed by a sort of neo-capitalism, exonomic structure conceptualized by the small group that possesses the monopole, divides and distributes inequitably the goods, the services and the money ; the opportunities. So being a worker in Haiti, as many can see it, maliciously is a blatant, fidel and vivid illustration of a disguised unemployment and the concrete incarnation of contemporary slavery.» He told me.

«I asked myself a bunch of questions and the interrogatory seems interminable. However, no verbal response was really necessary, simply the country's problem is not the effect of an unknown and new cause : the haitian people knows his miserable existential condition's causes, effects and masterminds.»

- What can someone benefit from holding so firmly on to a carnivorous lucrative engagement that is not monetarily enough to sustain their lifestyle and allow them to afford the kind of growth that any devoted human being can attain easily? 

-The incomes that they use their all, energy and time, to generate. Is everybody perceiving the exact amount of money legally regulated by their region's authority?

-Do i have, by signing this fraudulent and written in blood contract, the opportunity to put my talents into practice and evolve?  All this, without observing any negative change, without losing my real identity and forget who i really am as an intelligent and social being.

Questioning the liberty of the average worker in his country

«When it comes to work, sadly, a majority of the persons seems not being capable of comparing, rationally, "working relentlessly to generate huge income for a third person" and "working in a safe milieu to benefit intelligently from their talent's accomplishments".» He said.

He asked : Why is Haiti's average worker often feels so alienated?. Remember that, everyday, they dedicate a major part of their time and energy to their deed, the have to wait on their way to work/home, sleep because of prostration, and they sometimes have to finish their work at home.

Why, in this country, liberty, the authentic and universal one, is constantly separated from putting one's itellectual/physic capacity into practice, while using creativity to live and survive is the real force that has rendered possible the human species' survival? His last question.

«I will apply for a new job, but it has to be a real one, not just a time-filler.»

vendredi 1 septembre 2017

Youssoupha : de Noir D****(Noir Désir) à NGRTD(Négritude), en passant par la chanson titrée "Mannschaft" qui vacille entre défense de la négritude et une éventuelle apologie de l'équipe de football de l'Allemagne, pays d'Adolf Hitler.

Youssoupha, né Youssoupha Mabiki, est l'un des artistes, oeuvrant dans le secteur muscical Français, qui, de par ses techniques lyricales innovatrices et variées, ses prises de position hyper-radicales et son ascension spontanée à une célebrité internationale, peut carrément être considéré comme l'un des jeunes rappeurs les plus influents et prolifiques de cette génération.

Depuis sa célébrité accrue, popularité due à sa substance lyricale remarquable et son succès musical planétaire, il a commençé à faire l'objet de gros titres et a même été le sujet des accusations graves d'un journaliste français qui dit, et je reprends, que "Le rap est une sous-culture d'analphabètes". Les plaintes du chroniqueur ont été provoquées par une phrase tirée de la chanson titrée "À force de le dire". Une phrase qui, selon les dires du journaliste, est simultanément une injure publique et une menace de mort. Et la cour a reconnu l'interprète d'entourage coupable, bien que Youss soit incontestablement classé comme l'un des rares rappeurs qui pronent la non-violence, que sur le plan verbal que physique.

Le présent texte se doit de mettre l'emphase sur quelques uns des points culminants de sa carrière en tant que rappeur et parolier, notamment sur un possible usage du "subliminal" dans l'une des chansons localisées sur l'album NGRTD(Négritude), la chanson titrée mannschaft.

Le succès de son disque Noir D****(Noir Désir)  et son catapultage inouï vers la notoriété

Noir Désir, la collection de chansons de Youssoupha, enregistré chez le label indépendant "Bomayé Muzik", a marqué les cœurs et les esprits des fans du rap, spécialement les adeptes du son et du verbe de la vedette Zaïroise. Le disque aborde des sujets importants comme la famille, les conflits sociétaux découlant du racisme et de la religion ; il parle d'amour, de peine, de haine, de plénitude et de négritude.

Son album à succès intercontinental, "Noir Désir", écrit Noir D*****" - le choix d'ortographe  est originalement forcé par une intention d'évitage de conflit avec une formation musicale du même nom - marque un tournant décisif dans sa carrière de rappeur et son standing en tant que "marque". Son procès spectaculaire face au chroniqueur Éric Zemmour(des années avant la sortie de Noir D****) et son obtention de disque de platine(soit sept mois après la de sortie de l'album en question) n'ont fait qu'accélerer sa croissance sur l'échiquier musical, accentuer son omniprésence médiatique et multiplier ses dates de performance sur scène.

Ce chef-d'œuvre a mis un accent particulier sur le mode de vie des jeunes qui évoluent dans les banlieues françaises, les effets néfastes du racisme sur l'organisation sociale du monde, spécialement celle de l'Hexagone. Mais Yousssoupha, fils fier de l'ancien monde, n'a pas hésité à faire la promotion et explorer en profondeur la beauté cachée de la sonorité Africaine. Sur la chanson titrée "Les disques de mon père" on entend la voix du grand "Tabu Ley Rochereau", son père, figure incontestable et emblématique de la "Rumba"

Par ailleurs, l'artiste ne s'est pas abstenu de dénoncer la distortion volontaire des faits ainsi que la manipulation flagrante des informations par les institutions médiatiques en France, sans pour autant oublier de faire part de sa haine pour les dictateurs/corrupteurs de son continent. C'est l'un des meilleurs albums rap de l'année 2012 : une œuvre réaliste et innovatrice dans son genre.

Cet album, tout comme on peut le constater, est une confirmation palpable de son statut de célébrité et de défenseur ardent de la vraie justice et la cause souvent méprisée des noirs dans le monde, spécialement en France. Batman est justicier dans le Noir, par contre Youssoupha demande ouvertement la justice pour le continent africain sur Noir Désir.

NGRTD : symbolisme de l'album et message subliminal à travers la chanson "Mannschaft".

Sorti le 18 mai 2015, jour de la fête du drapeau en Haïti - le premier peuple noir au monde, le peuple ayant vaincu l'invincible armée Française(puissance militaire dirigée à cette époque par Napoléon Bonaparte) - l'album n'a pas eu une promotion à l'instar de celle de son prédécesseur noir désir. Toutefois, le choix de date de sortie du disque peut être tout sauf anodin. Et la date de publication peut logiquement être considérée comme un effet de marque. Et l'album est certifié disque d'or depuis le mois de novembre de l'année de sa mise en disponibilité.

Et le choix susmentionné s'explique clairement par le fait que Youssoupha a toujours su placer subtilement des petits détails importants, parfois ambigus, à travers ses textes, ses clips et ses déclarations publiques, et même via les slogans inscrits sur ses t-shirts. Le visuel de sa poignante, consciente et introspective chanson intitulée "L'enfer, c'est les autres" est un exemple factuel de sa manipulation parfaite du verbe, des codes cinématographiques, et peut-être du subliminal.

Mais des gens se posent une question loin d'être impertinente sur la chanson intitulée "Mannschaft", track portant un nom identique à celui de la formation footballistique de l'Allemagne, et c'est une chanson située sur un album titré "Négritude". Est-ce un choix de titre anodin ou est-ce que le lyriciste de bantou a voulu simplement jouer avec les concepts pour mieux marquer les esprits et montrer que le racisme est mort?

Est-ce possible de parler favorablement de l'équipe de football de la patrie du raciste anti-noir le plus opiniâtre et sanguinaire de l'histoire sur un album spécialement dédié au fait d'être fièr(e) de sa mélanine abondante ou d'être de descendance africaine, sans pour autant causer une remise en question drastique de la conformité de la négritude que traite son produit?

Oui. Youssoupha l'a bel et bien fait. Et il est connu pour être un fan malade de football ainsi qu'un supporteur de l'équipe Allemande. La question de couleur de peau est erronée.

«Panique pas : il n'y a qu'à l'envers qu'on peut me lire.» - Irréversible

Marc Andy Chéridord @MarhkusCroft

lundi 7 août 2017

False happiness and real peace

Many of us are actively engaged in an eternal pursuit of happiness, without even knowing what it really is, sometimes. The strange part is that we pursue it simply by holding onto others' perceptions and take their lifestyles and choices, which often sadly are smoke and mirrors - sentiments and emotions that are brilliantly staged, and materials that have nothing to do with happiness enhancement - as examples.

Do not follow the malicious ones, humans, who unscrupulously pretend that they possess the miraculous and scarce key to happiness, and affirm that they know a secret, unique and straight route to eternal benediction.

It sometimes is too good to be true : no one has the copyright to happiness or know about its location ; it is a very subjective and universal notion. What constitutes your happiness can be someone else's nastiest nightmare : we are unequal when it comes to perception ; we each nurture our own conception of what happiness, or any other thing, is.

Be aware of the fact that you, yourself, concretely symbolise blessing, the one with the saintest and most reviving nature, in its most definite and simplest form. You are a miracle, acknowledge that ; stop searching for something that is already sleeping inside of you. It is more about time to identify it, wake it up and improve it.

You are blessing in multiple dimensions : from your physical part, which is pure mystery and futuristic architecture, to you being a part of one of the biggest and most complex mechanism ever existed, universe.

Happiness is a simple drug ; you surely will be numb to it one day or another, the excitement will fade.

But peace is a real force, even more powerful than the manifestation of any other violent force ; peace is the most puissant bomb. Search it, comprehend it, cultivate it, then let it explode and spread it around you.

Don't run after joy and happiness, find peace first and happiness will appear : peace makes you a magnet, not someone who is going nowhere fast...

"Ta vie sera plus simple et facile à vivre si tu cherches à te connaître, faire connaissance avec ton être intérieur, avant de te lancer dans une course qui peut être interminable, ou menée sur un chemin sans issue."

Let us take a look at Haiti's socio-economic condition and then put ourselves in the shoes of a young Haitian, devoted worker, that is trying to survive modestly after being forced to quit his job.

Talking about the enterprise that he used to work for and his decision to quit. «I have to admit that it undoubtedly is an ancient, well-st...